« FRANÇAIS CULTURE ANTIQUE EN 6ème »

MODALITES
L’enseignement facultatif de « français culture antique » est proposé en classe de 6ème à raison de deux heures par semaine. C’est une option réservée au niveau 6ème qui permet un renforcement du français par l’approche fondamentale des langues antiques à l’origine de la langue française. Elle est indépendante de l’enseignement des langues anciennes dans les niveaux supérieurs. L’inscription de l’enfant est prise en compte, en juin, au moment de son inscription au collège. Cet enseignement est assuré par la professeure de Lettres Classiques, Mme Vaillant.

OBJECTIFS

Le cours de français culture antique est une nouveauté choisie par l’établissement et par l’enseignante, qui va tout à fait dans l’intérêt de l’élève, dans le sens de l’acquisition complète et éclairée de la langue française. L’option s’adresse donc à la fois aux élèves qui auraient besoin de consolider leurs connaissances et à ceux qui voudraient aller plus loin dans l’apprentissage.
Cet enseignement « procure aux élèves qui choisissent des outils historiques et linguistiques pour
aborder de manière réfléchie la formation et la structure du français, tout en leur offrant des
éléments de culture et de civilisation antiques. » (Conseil national des programmes)

OBJETS D’ETUDE
Les élèves prennent plaisir à étudier, d’après leurs retours et mon ressenti :
 Les racines grecques et latines et le vocabulaire des différentes disciplines, en correspondance avec les langues romanes, pour l’axe lexical ;
 Le latin et le grec pour mieux comprendre la structure et le fonctionnement de la phrase, pour l’axe grammatical ;
 La guerre et la paix entre dieux et mortels (comprendre ce qui rassemble et divise) ; le parcours d’Héraclès ; la naissance et renaissance du monde (se représenter les origines de l’univers) et représentations de l’au-delà (imaginer le cycle de la vie), pour l’axe littéraire et culturel.

FONCTIONNEMENT
Le cours de français culture antique fonctionne grâce à la motivation des élèves et à leur curiosité. C’est plus une question d’appétence que de « bon » ou « très » bon niveau. Par ailleurs, il n’y a pas de surcharge particulière de travail, étant donné que les enfants écoutent bien et mémorisent en classe. Il n’y a pas de devoir en plus, hormis le vocabulaire à revoir. Pour valider leur bon investissement, il y aura un contrôle /10 par axe (lexical, grammatical et culturel) par trimestre. Chaque cours (sauf exception) commence par dix minutes d’étymologie sous forme de charades autour des racines. En parallèle, je m’efforce de terminer par un instant de mémorisation.

Mme Vaillant, professeure de Lettres Classiques